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 riley.phoenix.robinson ∞ i heard the infinite.

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Riley Phoenix Robinson
    ADMIN — catch me if you can

Riley Phoenix Robinson


Messages : 206
Date d'inscription : 26/12/2010
Age : 29
Pseudo : Daphné
riley.phoenix.robinson ∞ i heard the infinite.  995710TM11riley.phoenix.robinson ∞ i heard the infinite.  301172TM1
« fuck it »

so let me thank you for your time but try not to waste any more of mine. Get out of here, fast. (...) Who cares if you disagree? You are not me. Who made you king of anything? So you dare tell me who to be ? Who died and made you king of anything?


ma petite vie.
relations :
histoire, en bref:
caractère:

riley.phoenix.robinson ∞ i heard the infinite.  Empty
MessageSujet: riley.phoenix.robinson ∞ i heard the infinite.    riley.phoenix.robinson ∞ i heard the infinite.  Icon_minitimeDim 26 Déc - 6:12



“ The dream in which I'm dying are the best I've ever had. „

gary jules.

riley.phoenix.robinson ∞ i heard the infinite.  Riley_10

― Riley Phoenix Robinson


____________feat. taylor momsen
18 yo ★ 21 juillet 1192 à Toronto ★ dj au club 737 et étudiante par correspondance ★ bisexuelle
»


― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ― ―




Caractère
Je me sais intelligente. Parce que les médecins l'ont dit. Mais je suis hyperactive. Alors le mélange des deux, ça donne un bordel, et j'ai finalement l'air aussi con que les autres. Mais j'ai sauté deux classes. Je crois qu'après l'évasion de mon chien, j'ai plongé mon chagrin dans mes devoirs et puis, c'est devenu rapide, automatique, j'avais besoin de m'occuper la tête ou alors, je pensais trop et j'allais exploser. C'est pour ça que je lésine pas sur les trucs qui détruisent le cerveau comme les drogues et les alcools, je veux être normale. J'en peux plus d'être soit-disant précoce. Je suis une fille qui s'ennuit, c'est tout. Je rêve, c'est tout ce que j'ai. Le reste me paraît trop concret pour être utilisé. Vous savez, je ne vis pas dans le réel. C'est bien trop ennuyant. Ce que vous voyez, ce n'est que la partie visible d'un naufrage humain. Et puis il y a la musique. J'oublie que je suis seule dans ma grande maison vide et trop chère, que j'ai le cœur creux, que j'ai rarement la tête à aller voir des gens, j'oublie, avec les basses et le rythme, que je n'aurais pas du naitre. Pas ici. Pas maintenant. C'est trop compliqué. La vie est compliquée. Les gens écrivent à propos de ça, mais je ne lis pas. Si je suis intelligente, je peux me forger ma propre pensée seule, j'ai des avis sur tout, je fais des listes. Je suis insupportable, apparemment. Je ne dors pas beaucoup, je ne mange pas des masses. Les sensations de manque sont superficielles, je peux les surmonter avec ma tête. Alors pour passer le temps, quand je sors de la boîte où je travaille, t'as toujours un boulet qui m'aborde. Alors j'attends, qu'il veuille partir. Et dès qu'on me dit « Tu viens ? » Comme un robot, je réponds « Oui. ». Qu'y-a-t-il de mieux à faire ? Je ne dis jamais non, il faut tout vivre, on est bien là pour ça, non ?




SURNOM → 'Ley, Phoenix, Robin
SEXE → F.
ORIGINES → Canadiennes et anglaises
PROFESSION → dj // étudiante en deuxième année
FILM FAVORI → Trainspotting
MUSIQUE → Electro, vieux rock.
MODE → Court, provocateur, noir essentiellement.
ALIMENTATION → Mélange sucré/salé.
COULEUR PRÉFÉRÉE → Rouge.
GEL DOUCHE → Pêche.
EXPRESSION FAVORITE → "Fuck it."
TEMPS DE SOMMEIL/NUIT → 5 heures.
GUILTY PLEASURE → les hommes.

“ this is my story
HISTOIRE • once upon a time, nobody gave a fuck. La vie, c'est ça. On nait, on essaye de se donner de la constance et on meurt dans l'échec. Certains diront que je suis réaliste, d'autre juste que je suis pessimiste et que je dois songer à l'internement. Si vous saviez ce que j'en ai à foutre. Je suis pas vraiment destinée à être une rebelle, enfin, je ne l'étais pas. J'étais cette fille trop propre sur elle, insupportable et au combien seule. Les médecins disent que je suis surdouée, parce que je m'ennuie en classe, mais la seule chose que j'ai faite, c'est sauter des classes, encore et encore, jusqu'à me retrouver avec des gens qui avaient deux ans de plus que moi, rien qu'au secondaire. J'étais la gamine, sans forme, seule, avec les mots non signés parce que ses parents passaient plus de temps aux États-Unis et en Angleterre qu'au Canada. Et puis j'ai été réglé. Alors qu'avant, je me sentais invisible, je suis devenue une femme adulte en un mois. Fini, la Riley surdouée qui ne jure que par ses devoirs, parce que sa vie est trop inintéressante pour faire autre chose. Du jour au lendemain, littéralement. Pour cause ? La lassitude d'être la gentille. Le culte des garces dans les séries télé. Ma nouvelle paire de botte achetée en rentrant des cours et, surtout, la découverte des effets de l'eau oxygénée. Peut-être que j'avais ce besoin récurant d'attention, je sais pas. Mais ça s'est passé. Certains diront que je me fais passé pour quelqu'un d'autre, j'ai envie de dire que désormais, je ne fais que ce que j'ai envie, je dis ce que je veux plus qu'à n'importe quel autre moment de ma vie.

Le lendemain, en me regardant dans la glace, je me voyais, parce que c'était moi. Alors j'ai enfilé mes talons et je suis partie en cour, métamorphosée. Je me souviens très bien qu'en pensant dans le rang, pour rejoindre ma place habituelle, dans le fond – étonnamment -, je me suis fait interceptée par l'autre. Un mec un peu con, qui lui avait redoublé. Il m'avait regardé de haut en bas et je me souviendrais de ce jour comme jamais vu ce qu'il a sorti : « Eh poupée, je suis sure que t'as été vilaine. Tu veux pas que je te punisse ? » J'avais haussé un sourcil et très clairement articulé un : « Crèves, connard. » avant d'aller m'assoir, pendant que son pote se foutait de sa gueule. C'était juste.. trop dur, d'avoir quelqu'un au fond de soi qui voudrait sortir mais vous ne trouvez pas le moment pour vous exprimer. Et à force, j'étais devenue une bombe à retardement. Alors j'avais explosé. Arrogante, désintéressée. Je ne pouvais plus jouer le chien des profs juste parce que j'étais la seule à connaître la réponse. Bien sur que je savais encore tout. Et quand on m'interrogeait, je donnais la réponse. Et Dieu seul sait à quel point ça les emmerdait, que j'en branle pas une et à pouvoir leur répondre. Or-ga-smique.

Quelques semaines plus tard, je me souviens très bien de cette soirée. J'étais rentrée des cours vite, comme je le faisais toujours, parce que je détestais rester au secondaire plus longtemps que l'on ne m'obligeait. Ma mère m'attendait, sur le canapé, son verre de whisky à la main. Je le voyais dans son regard, que ça n'allait pas. Je m'étais assise à côté d'elle et elle avait commencé. Elle m'avait tuée en me sortant les trucs qu'on sait mais que l'on souhaite tout de même ne pas entendre, à coup de « J'ai jamais aimé ton père, je suis restée avec lui parce qu'il avait de l'argent et j'étais enceinte mais j'aurais préféré que tu ne naisses jamais. Tu me gâches la vie, Riley, j'espère que tu le sais. Je voulais pas de toi et j'en veux toujours pas. » Si j'avais eu la force, je crois que j'aurais fini son verre et lui aurait éclaté en pleine gueule mais je n'étais pas violente. J'avais simplement pris mon sac, ravaler mes larmes et répondu un simple « Bon, je sors maman. » Tout ce que j'avais eu le droit, c'était un « Ne m'appelles plus comme ça, je refuse d'être ta mère. ». Et depuis ce jour, silence radio de sa père. Elle était là, mais je n'existais pas pour elle. C'était tendu à la maison, mais comme mon père se sentait le besoin de racheter tout ce dont ma mère me privait, j'avais le droit à tout. En dernière année de secondaire, pour la graduation, j'avais eu le droit à mon premier tatouage. 14 ans. Merci Papa. Mais ce soir là était célèbre pour autre chose dans ma tête. J'avais eu la peur de ma vie, la noyade, j'y avais vraiment cru. Ma tête ne fonctionnait plus, j'étais lamentablement tombée dans la piscine du jardin. Le matin, le soleil me réveillait, je m'attendais à me retrouver en bas résilles près de Saint-Pierre mais au lieu de ça.. Piscine vide. Et un mal de crâne, une descente terrible. A noter ; ne pas prendre de drogues les jours de cours. Note que je n'avais pas suivi depuis, d'ailleurs. J'étais arrivée, avec les vêtements de la veille, des devoirs non faits mais je n'en avais plus rien à foutre. La vérité, c'était que je m'étais effondrée sur ma table en arrivant sous les regards des autres. J'avais demandé à quitter le cours, assommant. Comme je suis une bonne élève, on me laisse un peu faire tout ce que je veux. William m'avait accompagnée. William, un cas celui-là, un peu. J'avais été mise d'office avec lui pour un devoir, il m'avait parlé de ses parents. Je crois que je ne l'ai jamais vraiment bien compris. Je l'ai cru intelligent, un peu, différent.. Tu parles, un vrai boulet ce mec. Mais j'ai séché ce jour-là avec lui. Il m'énerve à un point. Mon Dieu.


Je suis devenue cette salope superficielle parce qu'elle prend exemple pour Coco Chanel. Vous savez, l'espèce de phénomène qui se trimballe sur deux spaghettis en guise jambes, en train de faire un déhanché fluide, qui à l'air de danser avec personne et tout le monde, le casque de dj sur les oreilles ? J'aurais plein de choses à dire, comment j'ai eu le boulot, comment je fais avec les cours, combien de mecs je me tape, combien de joints je fume... Mais on s'en fout. On s'en fout de tout ça. Je suis bonne. Mais vous êtes beaux. J'ai eu juste un léger problème.


- Ouais, et en fait t'as quoi ?
- Ils savent pas, c'est la troisième fois que je viens, je fais des morts cliniques temporaire. Apparemment, ce serait du à de l'hypertension, ils savent pas. Je suis une revivante, limite.
- Chaud


Techniquement, j'aurais pu prendre des médicaments pour calmer tout ça, mais je trouvais ça assez amusant. Parfois, avant que mon cœur lâche pendant quelques secondes, quelques minutes ou, un fois, quelques heures, on le voit battre tellement fort que ça fait que mon T-shirt se soulève. La première fois que c'est arrivé, ma mère n'a pas pu me réveiller, un matin. Alors elle est restée à côté de moi à pleurer, puis, comme si je faisais de l'apnée du sommeil, je me suis levée brutalement. Elle m'a mit une claque. C'était il y a à peine six mois. Alors maintenant, je ne m'en fais plus, ça se passe souvent la nuit, mais j'ai du arrêté l'université et pris des cours par correspondance, déjà parce que j'avançais trop vite et en plus que si ça m'arrivait là-bas, trop de questions. Si ça m'arrive en boîte, pendant que je travaille, mes employeurs le savent. Sinon, je ne l'ai jamais dit. Mais j'ai toujours ce papier sur moi, qui dit que je peux me « réveiller » dans un délai de huit heures. Je suis pas trop forte ?

« J'aurais aimé t'aimer comme on aime le soleil te dire que le monde est beau sue c'est beau d'aimer. J'aurais aimer t'écrire le plus beau des poèmes et construire un empire juste pour ton sourire, devenir le soleil pour sécher tes sanglots et faire battre le ciel pour un futur plus beau mais c'est plus fort que moi. Tu vois je n'y peux rien. Ce monde n'est pas pour moi. Ce monde n'est pas le mien. »

Mais avec cette maladie, j'avais chopé un autre problème au cœur. Je ne pouvais pas aimer. Il me faisait déjà assez mal comme ça, je n'allais pas m'embarrasser de relations, peu importe lesquelles. Je suis condamnée, autant que cela me serve. Quand tout le monde le saura, je pourrais dire des trucs du genre « Riley. J'ai déjà connu la mort. » pour me présenter, genre dans les groupes d'aides pour arrêter les drogues ou -parce que c'est peu probable, comme hypothèse, celle que je viens de donner – que j'ai peur de m'endormir parce que je sens que c'est la dernière fois. Alors je profite. Live life to the fullest.



♣ People are strange.




PRENOM - SURNOM → Daphné - Daph'
AGE → sixteen.
SEXE → F.
AVATAR → momsen.
CODE DU RÈGLEMENT → - ok
DOUBLE COMPTE → nada.
CONNEXION → 7/7 jours






Dernière édition par Riley Phoenix Robinson le Sam 5 Mar - 22:08, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: riley.phoenix.robinson ∞ i heard the infinite.    riley.phoenix.robinson ∞ i heard the infinite.  Icon_minitimeLun 28 Fév - 2:44

auto validation,bienvenue à moi et basta. (a)
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